[Test] Cooler Master MasterMouse MM520 et MM530

Présentation

Voici les bêtes! La Cooler Master MasterMouse MM530 est à gauche et la MM520 à droite, cela sera le cas pour toutes les photos à partir de maintenant.
Comme on peut bien le voir sur le dessus elle n’ont pas du tout le même gabarit. La MM520 dispose d’une partie bien plus large à droite qui permet de reposer l’annulaire tandis que la MM530 a un style largement plus classique, quasiment identique à la Mizar. La coque est fait d’un plastique un peu granuleux de bonne qualité qui n’est pas désagréable au toucher.
On trouve une molette caoutchoutée sur le dessus avec 2 boutons pour la MM530 contre 1 seul pout la MM520. Un logo est également présent, le liseré qui l’entoure est équipé d’une LED qui s’illuminera en fonctions de vos envies, en RGB s’il vous plait.

En dessous il n’y a pas vraiment grand chose à dire si ce n’est que la MM520 de par sa forme dispose de 3 pads contre 2 pour la MM530, cela ne changera rien à l’usage.

Sur les côtés on peut également voir la différence entre les 2 souris, la MM530 a une forme fluide que la MM520, cette dernière ayant une forme plus adaptée à une prise en main « Claw Grip ». 2 boutons sont présents au niveau du pouce, qui sont facilement atteignable sans avoir besoin de jouer les contorsionnistes. Seule la MM530 est équipée d’un pad en caoutchouc. On peut également voir le liseré à droite sur la MM520 qui s’illuminera sous tension, alors qu’il n’est pas présent sur la MM530.

Ici on peut bien voir la différence entre les 2 modèles, la MM520 dispose d’un repose annulaire qui n’est pas présent sur la MM530. Les 2 modèles sont cependant équipé d’un revêtement en caoutchouc, celui de la MM520 est plus petit car il n’accueillera que le l’auriculaire.

En regardant devant on voit également que les formes ne sont pas identiques, les 2 sont adaptées à leur prise en main respective.

A l’arrière on peut bien voir l’arrière plus bombé de la MM520, ainsi que son liseré qui s’illuminera de toutes les couleurs une fois que vous aurez mis la bête en route.

Petite déception au niveau du câble USB, en effet ce dernier n’est malheureusement pas tressé (alors qu’il l’était sur la Mizar), dommage mais cela ne changera pas grand chose à l’usage.

Le logiciel

Tous les paramétrages des bêtes se feront via le logiciel Cooler Master Portal, téléchargeable ici, voici ce que l’on obtient:

La page d’accueil permet la configuration des différents boutons, 6 pour la MM520 contre 7 pour la MM530, vous pouvez attribuer une touche, un autre bouton de la souris, une macro, une action multimédia et tout un tas d’autres choses dont bien entendu les macros. Ici tout est plutôt clair et facile d’utilisation.

La partie « LED » comme on peut s’en douter est réservée au paramétrage des différentes LEDs des MM520 et MM530. Ici chaque LED est paramétrable indépendamment et dispose de plusieurs effets. Il sera possible de choisir entre une couleur statique, un cycle de couleur, l’effet souffle ainsi que bien entendu éteindre le tout 😉

Je crois qu’avec ça vous avez un petit échantillon de ce que l’on peut faire avec les 2 bêtes, la MM530 étant à gauche et la MM520 à droite. Si vous voulez un petit sapin de noël il y aura ce qu’il faut 😉

Dans « Capteur » on a la possibilité de régler 4 profils DPI différents, allant de 400 à 12000 DPI par tranche de 100 DPI, de quoi s’adapter à toutes les utilisations. Un ajustement de l’angle de décrochage est également présent, pour les plus exigeants!

Pas besoin de vous faire un dessin, l’onglet « Sensibilité OS » permet de régler la sensibilité dans le système d’exploitation ainsi que le temps de réponses des boutons.

Les macros sont bien entendu de la partie, enregistrement, édition, exportation et importation de ces dernières, tout y est.

Ici on peut gérer les différents profils, que l’on peut changer à la volée via les boutons sur le côtés droit (par défaut) de la souris, il est possible d’en avoir jusqu’à 5.
Le logiciel Portal de chez Cooler Master est donc plutôt complet, facile d’utilisation et je n’ai pas eu de soucis de plantages ou autres, ce qui est théoriquement normal mais il arrive que certains soient vraiment capricieux.